Thierry ZALIC

Hypnose quantique, le choix d'être bien, ou pas.

Souffler, se décentrer, se  relier...

 

Créez votre vie, ne la subissez pas.

 

 

 

HYPNOSE QUANTIQUE :

le choix d’être bien, ou pas

 

Qui suis-je ?

 

Je reçois des personnes, dans une petite ville, quelque part. Ce lieu est le centre de l’univers. Chaque point est le centre de l’univers. Certaines viennent me consulter après plusieurs séjours dans des hôpitaux psychiatriques, après avoir vu de nombreux psychiatres, psychologues, thérapeutes… en libéral ou dans des CMP…

 

Longuement… longuement… en vain.

 

Or, après une, deux, ou trois consultations, rarement davantage, et très souvent une suffit, une grande majorité de ces patients va très bien, pas nettement mieux mais extraordinairement bien. Ces patients ressortent de leur domicile, sourient, retrouvent du plaisir, un emploi souvent, se séparent de leur conjoint ou vivent enfin plaisamment avec.

 

Magie ou saut quantique ? Ce phénomène intervient quand un électron change d’orbite instantanément, sans même avoir voyagé entre les deux instants. Il a changé de statut, est passé d’un ensemble de circonstances à un autre, sans passage intermédiaire.

 

Sur ma plaque est seulement écrit : Thierry ZALIC, psychologue clinicien / hypnothérapeute.

 

Les mots « magie » ou « quantique » n’apparaissent pas et pourtant ils seront partout, la magie étant l’envers insoupçonné de la raison.

 

Que fait l’hypnose ?

 

L’hypnose ne théorise rien. Elle ne s’occupe que d’états. Un état stable ou non, solide ou fluide, avec un certain spin ou une certaine trajectoire.

 

Le travail de l’hypnose n’est pas de réfléchir sur l’état mais de le transporter, le changer, le faire communiquer avec d’autres états, énergies, fréquences… dans un univers qui dépasse le seul champ du vivant car tout devient vivant et interconnecté.

 

L’hypnose ne pense pas, elle agit. Le bouddhisme, un peu plus élaboré, pense les états. Cependant, son but est le même, déplacer l’être dans ses différents états. L’orienter vers la plus grande stabilité possible, approcher de la Claire Conscience.

 

L’hypnose est un moyen de transport entre états. Déplacer, réorienter. Passer de l’ombre à la lumière, et, s’il y a trop de lumière, aller vers une nouvelle ombre plus adaptée. Se mouvoir.

 

Ses outils ne servent pas à penser. Ce sont des instruments manuels, des leviers au service de la physique.

 

L’hypnotiseur est un terrassier qui mène son patient au ciel.

 

Choisir d'être bien, ou pas...


Le titre peut paraître étrange. La plupart des patients pensent que s’ils vont mal, ils ne le font pas exprès. Leur faire découvrir qu’aller mal est un effort de volonté, que l’on y place toute son énergie en serrant les poings. Le malade y met tant d’énergie qu’il n’a de force à rien d’autre.

 

Alors, apprendre à passer d’un état bloqué à un état fluide, de la volonté à  la non volonté. En ouvrant les mains, les tensions peuvent s’échapper plutôt que ravager le corps.

 

Il s’agit en premier lieu de désapprendre, de sortir du lieu figé où l’on croit savoir. Être un instant dans la non-pensée, dans la suspension, dans le moment créatif, dans le non-regard.

 

Puisque la souffrance est déraisonnable, soyons-le encore plus, ne souffrons pas. Puisque, la plupart du temps, la confiance en soi ne repose sur rien, faisons comme si nous étions forts et tranquilles, beaux, calmes, irradions d’une nouvelle force qui ne repose sur rien. Au départ est l’intentionnalité. Toute forme part d’une intention.

 

Et cela marche, comme un nouveau combustible mis au centre d’un réacteur. Oser la folie, au lieu d’en être la victime.

 

La folie d’être, à partir de cet instant, son propre géniteur, d’accoucher d’un nouvel autre axé sur le bien-être, le plaisir, la sérénité. Pourquoi ? Parce que l’expérience montre que c’est meilleur pour la santé.

 

Le patient opte pour une nouvelle foi en lui-même, en étant le centre du monde et en s’oubliant.

 

Dans ce nouvel espace quantique, le patient peut atteindre une puissance absolue en rendant toute force caduque.

 

Je l’invite, enfin et surtout, à ne plus être respectueux de son système passé.