Description de séance pour thérapeutes.

À l’intérieur d’une séance

Application de l’hypnose « quantique » à la résolution d’un « trauma » par agression sexuelle associée à une anorexie.

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PRESENTATION

Une hypnose dite « quantique » intègre des éléments de thérapies brèves de type Doutrelugne et Cottencin.
Elle joue sur des rapports de logique pour sortir d’une raison (croyance à une réalité) qui a coincé l’individu entraînant des rituels qui le protègent et l’enfoncent davantage. Plus il se protège, plus il s’enfonce. Il s’agit alors de donner de l’air, dans tous les sens du terme : le travail sur la respiration sera ainsi un facteur clé.

Presque toujours, une séance suffit, une séance assez longue, pour moi 1 h 30. Pourquoi guérirez-vous demain si vous n’êtes pas guéri aujourd’hui ? Parfois une deuxième séance de réassurance, jamais plus.

Même si je suis à l’origine psychologue clinicien et ai pratiqué la psychanalyse pendant plus de trente ans, la psychologie sera ici toujours seconde.

À l’inverse de la psychanalyse qui cherche à débloquer le corps par le verbe inspiré d’une histoire, cette approche est en premier corporelle, axée non sur le mot lui-même mais sur la sensation corporelle induite par l’idée, l’image. Allons plus loin en osant d’autres termes, le rêve, la poésie, la magie.

L’histoire n’est jamais considérée comme vraie ni causale. À partir d’un élément déclencheur, qui peut même être déclenché par le sujet, un fil est tiré qui pourrait être un autre qui donnerait une matière différente.
À l’inverse de la psychanalyse, on sort de l’illusion et on n’y entre pas.

Le « jeu » porte principalement sur des éléments physiques, la forme et le vide, le poids et la légèreté, le fermer et l’ouvrir, le continu et le discontinu…

L’action porte sur des points du Tantra, jeu entre la forme et le rien, la certitude et l’incertitude, le continu et l’alternatif… sur l’absence de réalité et de cause unique que l’on retrouve dans le bouddhisme… sur la dilatation du temps dont parle Bachelard dans L’intuition de l’instant, ainsi que Daniel Stern, repris par Stephano Colombo…
Cette action inclut aussi le non dualisme du Tao qui implique un amoralisme excluant les notions de bien et de mal, de bourreau ou de victime…

Ici, dans un retour à l’Un qui contient toutes les potentialités, les opposés sont complémentaires. Niels Bohr, un des pères de la physique quantique, avait repris cette devise pour l’inscrire sur son « blason » puis sur sa tombe.

Dans un univers-bloc (physique quantique, Bergson…) où le passé, présent et futur sont mêlés, le présent modifie les paramètres du passé et, injecté dans le futur, reconstruit les données du présent. (Voir rétro-causalité de Philippe Guillemant…)

Le jeu est toujours entre deux positions antagonistes, ouvrir et fermer, (voir travaux de Turing) plus la notion de choix qui va interrompre ou non la séquence. (Ajout du dosha mental Rajas qui dicte l’action à prendre dans l’ayurvéda).

La première action dans cette forme d’hypnose est de travailler sur le champ, (espace d’attraction qui génère des lois) et sur l’espace propre du corps forcément lié au temps. Dilater le temps, l’espacer, est déjà espacer le corps composé de vide à 99,9999%, le rendre moins dense donc moins douloureux, d’ouvrir des perspectives. Songeons aussi que le peu de matière restant comporte 60% d’eau et 75% chez un nourrisson.

Que font la quasi-totalité des thérapeutes ? Ils acceptent la réalité du patient, sa contraction. Très souvent, ils vont renvoyer en boucle les mots du patient, traumatisme, bien, mal, méchant, douleur, agresseur… recevoir et accepter la plainte du patient dans une empathie qui ne distingue pas l’être et son tourment. Dans ce cas, le thérapeute co-invente la douleur avec le patient.

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INTRODUCTION D'UN YES SET POUR UN "AVENIR RADIEUX" ET "FAIRE DANSER L'AVENIR".

Les questions qui viennent aussitôt, même si elles ne sont pas exactement formulées ainsi, sont :

-Et si je vous recevais sans cette plainte, si mon empathie était sur vous et non sur la situation proposée, si l’on remplaçait déjà le mot traumatisme par celui d’évènement.
Si vous commenciez d’abord par vous sentir bien, puisque vous êtes là pour ça, sans réfléchir à une raison, vous sentir bien sans raison.

Toujours se rappeler de cette question et réponse du philosophe scientifique américano-polonais Korzybski :

« -La situation est sans issue, que feriez-vous à ma place ?
-Je changerai de vocabulaire »

Si la douleur s’inscrit dans le corps, son jeu est langagier.

Le passé, ou plutôt l’évènement du passé placé dans le présent, sans écart, dans un couple lié passé-présent, abolit tout futur radieux.

Bachelard appelle cela « le deuil cruel de la conscience de l’avenir trahi ».

Chaque instant suivant « assaille » notre corps, obstrue l’avenir. Le présent bègue répète le même mot coincé, boule dans la gorge ou l’abdomen, pierre dans le ventre... Faire le pas nouveau (qui inclut la vue nouvelle, l’ouïe nouvelle… ) sera une entrée dans la résilience de Cyrulnik, le choix d’une autre voie à partir d’une même cause (vision) qui a le bon goût de ne plus être unique, donc certaine, mais une voie parmi d’autres possibles. Ainsi, étrangement, la nouvelle voie réécrit l’ancienne cause qui n’est plus certaine.

Alors que rien n’a apparemment commencé, on commence à introduire du discontinu dans ce qui paraissait être du continu, du lâche dans le nœud hyper serré, du relatif dans l’absolu grâce à une respiration qui provient du futur pour modifier le présent qui commence à réécrire les perceptions du passé.

Alors que la patiente a exposé son passé hyper présent les questions paraissent décalées, hors sujet, hors du temps contracté. Elles sont hypnotiques sans hypnose par leur nouvelle focalisation, le nouveau centrage. C’est un moment de déshypnotisation.

-Voulez-vous être bien ?
-Voulez-vous commencez à être bien dès maintenant.

Il s’agit là d’être ferme et têtu, de refuser toute réponse de type « comment le pourrais-je ? » et de revenir à la question jusqu’à la seule affirmation d’un « oui ».

Parfois l’amener, non en poussant la vache pour reprendre la métaphore d’Erickson, mais en la tirant par la queue. La vache poussée refuse de monter dans le camion, alors qui si on lui tire la queue pour qu’elle recule, elle va s’y précipiter.

Ainsi proposer : « si vous voulez continuer à être mal, vous le pouvez. Ça apporte beaucoup de bénéfices secondaires. Alors, je répète « voulez-vous être bien ? »

Quasiment toujours, la personne dit « oui ».

Puis enfoncer le clou, expression inverse car on le retire, sensation qui peut aussi être douloureuse car on se retrouve face au ressenti du vide.

-Voulez-vous commencer à être bien dès maintenant ?

Vous savez que je ne peux rien faire sans vous. Il m’importe seulement que vous conceviez que vous pouvez être bien, même si vous ne savez pas encore comment, ou continuer à être mal.

"Être bien" implique de sortir de toute notion morale, du bien, du mal, du statut de victime, du désir de vengeance.

Ainsi êtes-vous prêt, (ou prête) à être bien ?

Super. (Quand le oui est là).

Maintenant, ce que je vous demande, ce qui m’intéresse, est que vous ressentiez pleinement dans votre corps ce qui a commencé à changer quand vous dites ce « oui », puis quand vous vous mettez dans la peau de celle qui est guérie, qui a franchi le cap, qui est devenue de nouveau libre. Ressentez-le dans votre corps, au moment pile de ce moment présent, ce nouveau moment présent lié à rien, en entrant à l’intérieur du « oui ».

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La séance n’a toujours pas commencé et est presque déjà close. La patiente en sortira plus forte, souriante, la tête haute, libérée. Cette image en vous passe d’un corps à l’autre, d’un champ à l’autre dans une loi générée par votre Présence.

Le début commence à inscrire la fin, radieuse.

La première action est de dilater le temps, lié à l’espace. Pour qu’une douleur perdure, il faut que le patient thésaurise l’instant, l’agrippe, le serre, se mettre hors d’un monde qui avance, sauf lui, agrippé. En un mot, il faut qu’il le veuille, follement, ardemment, passionnellement.

Que dit toujours Bachelard ? « Que le temps n’a qu’une réalité, celle de l’instant : autrement dit le temps est une réalité resserrée sur l’instant et suspendue entre deux néants. Le temps pourra sans doute renaître, mais il lui faut d’abord mourir. »

Le patient fait du bouche-à-bouche à un temps révolu pour qu’il ne meure pas, restant « à la ramasse » de l’autre temps avancé.

Ce temps, il est possible (et nécessaire) de le lâcher, de reprendre de l’air. De passer d’une passion à une autre, de la contraction à la dilatation.

Dans l’exercice majeur de respiration que je décrirai, vous observerez comment ça re-circule corporellement, comment ça s’aère, comment le temps devient plus lâche, comment vous n’avez même plus besoin de laisse car vous devenez le maître du temps, le rêveur.

Toujours travailler sur l’amont, la « futurisation » ou futur réalisé, cette boucle rétroactive qui va réinjecter du soleil dans une nuit qui commence à ne plus exister et n’existera plus dans sa forme première. Votre état va inviter des synchronicités positives car vous avez changé de plan.

Le patient, un peu tétanisé, sort de sa tétanie.

-Plus tard, et ça se dessine, observez déjà dans votre corps. Observez comment vous devenez plus fort dans le présent, aussi dans le passé.
Observez comment vous ne vous effondrez plus dans le souvenir qui était si près, quasiment collé, ou cette résurgence n’a plus du tout la même intensité.
Observez comment l’instant commence à se distendre, comment il laisse apparaître des tons plus clairs, ou des couleurs…
Ce qui était un espace dense et noir s’éclaire ou se colore, s’aère. Si vous étiez dans l’eau vous commencez à respirer sous l’eau, vous devenez un nouvel être adapté à ce nouvel élément, pour survivre et, étrangement, même vivre.

Dans l’ancien noir, la lumière est là. Laissez-là venir et constatez alors comment votre respiration s’élargit. Vous étiez en apnée, tétanisée, et vous vous remettez à vivre. Aucun poisson n’a la bouche fermée. Il se laisse traverser par l’eau, il ne lutte pas contre.

Ce qui passe dans votre bouche ouverte est l’expérimentation de ce qui va suivre, cette double création de vous sentir enfin bien dans le moment présent, ou mieux, et de devenir beaucoup plus fort, plus stable, de vous préserver au lieu d’être envahie.

Même si c’est bizarre, votre sourire intérieur crée un axe solide qui vous soutient, autour duquel vous pouvez tournoyer. Kant parlait de l’union entre la morale et le ciel étoilé, les bouddhistes parlent d’unir le ciel et la terre, parlons aussi de faire danser l’avenir.

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L’action porte sur la structure vivifiante du corps à partir du moment présent éclairé par le soleil du futur. Certains parlent de rouvrir des chakras, exactement comme une fleur ose s’ouvrir au soleil, le matin, puis fermer légèrement ses pétales s’il chauffe trop, en restant disponible. Oser s’ouvrir car l’axe protecteur est stable.
Cette avancée crée le déploiement d’une énergie qui redevient libre autant que maîtrisée, sur une « âme » bien plus dansante quand le corps sécure est moins tendu.

-Ne vous occupez pas de comment vous allez plus forte et souriante. Ce n’est pas le propos immédiat.

Ne vous occupez pas de comment vous allez devenir un nouveau pôle attractif, créant ce que l’on appelle l’abondance, dans une liberté plus grande quand vous n’en voudrez plus à personne. Comment vous serez, avec votre sourire, dans une bienveillance plus grande, alors qu’auparavant vous étiez tétanisé ( e ) et vous vous réfugiez dans l’exclusion du monde.

Là, le sourire absout, pardonne pour vous délivrer vous-même, tandis que l’air vous pénètre, lave ce qui a besoin d’être lavé et nourrit ce qui a besoin d’être nourri.

Bachelard de nouveau, autant processeur de philosophie que de physique et de chimie, exprime ainsi l’idée : « si notre cœur était assez large pour aimer la vie dans son détail, nous verrions que tous les instants sont à la fois des donateurs et des spoliateurs, et qu’une nouveauté jeune ou tragique ne cesse d’illustrer la discontinuité essentielle du temps.

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TRAVAIL PSYCHO-ENERGETIQUE

Entre ce que je viens d’exposer comme pré-talk et une partie plus hypnotique qui suivra, la phase médiane, tournant de la séance, colonne vertébrale, est un exercice intermédiaire de respiration.

La consigne : Prendre une grande respiration et souffler fort, comme pour se débarrasser de ce que l’on veut se débarrasser, sans nommer quoi. Puis entrer dans le relâchement au rythme où il vient, si possible sans penser, et après deux ou trois minutes, relater les sensations physiologiques qui se sont produites.

Ce travail sur la respiration est analogue à ce que faisait François Roustang sur le positionnement du corps dans le fauteuil.

Cette patiente, aujourd’hui 20 ans, a relaté dans l’anamnèse rapide avoir subi une agression sexuelle à 12 ans. Depuis, anorexie (relativement légère), pas de plaisir sexuel alors qu’elle est en couple. Peur de parler en public qui l’a amené à des échecs lors de concours.

En début de séance, arrive tout emmitouflée.

Êtes-vous à l’aise comme ça ?

Elle me dit que non, et commence à enlever les vêtements en surcharge, comme à regret.

Après la partie I que je viens de relater, commence cette séance de respiration que je mime d’abord une fois. La jeune femme, à apparence d’enfant, zappe le souffle de libération, ose à peine respirer et ouvre vite les yeux. Elle ne s’installe pas dans un confort, à peine assise dans le fauteuil.

Dans cette partie de séance, je suis proche de Barbara Ann Brennan. (Lire guérir par la lumière.)
Si cette « guérisseuse » peut scanner le corps entier, voir les auras, les maladies inscrites comme dans un livre ouvert, je vois totalement la structure psychologique du corps, là où « ça coince ». Me viennent des images, métaphores, comme des flashs, que je relate au patient qui les trouve toujours d’une exactitude absolue.

Le but est de refaire l’exercice jusqu’à ce que « ça » cède, ou que « ça s’ouvre », sans qu’il ne « craque » lui-même et rentre dans le « je ne peux pas » ici interdit. Dissociation entre l’ancien « lui » qui ne pouvait pas, et le nouveau pour qui s’est facile, entre le corps toujours sain et la chape du mental qui ne le laisse pas vivre et respirer. Le couvercle.

J’explique que cette personne est comme assise au bord de quelque chose sans oser y entrer, qu’elle est encore dans la crainte d’agresseur et n’ose pas se laisser aller. Elle a commencé par un souffle contrôlé et est restée dans le contrôle, dans la vigilance.

Deuxième essai : elle souffle fort et se tétanise, comme si elle avait osé et ne bouge plus tels des animaux qui s’immobilisent pour ne pas être vus. Elle est une souris qui a osé défier le chat, mais au lieu de jouer et de le rendre fou, elle a peur de sa réaction et ne s’affirme pas encore.

Troisième essai : mieux, plus décontractée mais à peine. Son visage devient quand même un peu plus beau. Je lui relate. J’ose, avec tact et pincettes, lui renvoyer qu’elle commence à être belle, ce qui la met en danger car la voilà dans la lumière alors qu’elle s’était réfugiée dans l’ombre et dans l’invisible, faisant au maximum disparaître son corps. Elle rentre sur la scène, devient potentiel objet de désir.

Elle possède un corps hyper menu qui pourrait avoir 12 ans d’âge. Être belle, c’est prendre un risque, avoir des formes c’est prendre un risque. En effet, c’est appâter le chat. Prendre de la nourriture, c’est devenir une nourriture.

Pour oser prendre ce risque, il est nécessaire de devenir fort, d’avoir un lieu central stable, une bulle d’invulnérabilité, un axe debout, totem, linga des Africains. Sinon, on se cache. On tremble en gazelle, ici souris, au lieu de s’affirmer en lion.

Que se passe-t-il exactement là ? Elle n’ose pas respirer, se nourrir d’oxygène exactement comme elle ne mangeait pas. Elle ne s’alimente même pas d’air. La première respiration, la première affirmation, est prendre l’air, l’oxygène. Puis, encore plus dangereux, en avoir du plaisir, devenir une jouisseuse, c’est-à-dire accepter la joie, faire circuler l’énergie qui va développer tout le corps et des sensations à l’intérieur du corps.

Toujours répéter qu’elle a le choix de ne pas vivre, restreindre au maximum cette vie, ou de vivre.

Quatrième essai : Parfait. Elle ose enfin respirer, sa poitrine monte et descend, son visage se métamorphose, passe du serré et ingrat à une réelle beauté pleine, une Belle au bois dormant, dans un sommeil plein qui la réveille. Dans ce réveil décalé, dans ces yeux fermés qui osent enfin s’ouvrir et regarder, elle ne les ouvre plus, sa force calme commence à dépasser le risque.
Elle s’installe, fait durer l’exercice, ou plus joliment l’éveil, et ne reviendra qu’à regret.

Jamais elle n’a été aussi bien, dira-t-elle.

J’explique un peu théoriquement sa nouvelle compétence à passer désormais du bloqué au fluide, du blocage neuromusculaire à un flux génératif pour reprendre les termes de Stephen Gilligan.
J’explique comment elle sort du « c’est plus fort que moi » qui la dépossédait pour reprendre possession de son corps grâce à la nourriture de cette respiration.

Gaston Brosseau dit qu’à chaque fois que l’on respire, on dit « oui » à la vie.

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DÉBUT DE SÉANCE QUI EN EST L’ÉPILOGUE

Dernière phase de la séance, plus conformément hypnotique à ce que l’on conçoit de l’hypnose tout en contenant des éléments « chamaniques ».
Une entrée dans « l’être bien sans raison », catalepsie d’une main, lévitation de la seconde, ouverture de la cage sombre pour apporter la lumière et les réponses hors des questions.
Les parties du corps vont être dénouées par des rayons de soleil porteurs d’une sagesse universelle (chère à Teresa Robles et au Don Juan de Castaneda) permettant la sortie hors du corps d’un poids qui l’encombrait.
Les sensations vont expérimenter quatre niveaux : absorber le calme d’un nuage de calme et de tranquillité, faire l’expérience du plaisir énergétique du calme qui circule, puis d’une puissance calme intériorisée, enfin de la sérénité et de la bienveillance.

De retour sur terre après la lévitation (imaginaire) du corps entier, le changement de peau est enfin abordé, abandon d’une peau trop serrée pour une peau nouvelle. Suit l’entrée dans un nouvel élément aquatique où le patient nage immédiatement comme un poisson dans l’eau dans une fluidité et une facilité nouvelles…

Au sortir de l’eau, elle goûte la perception de cette nouvelle peau plus sensible et plus protectrice à la fois.
Enfin, elle intériorise ces nouveaux éléments qui modifient chaque cellule au plus intime d’elle-même pendant que ses membres redescendent, jusqu’au retour dans la pièce avec une nouvelle vue sur la réalité, dans un nouveau tempo intérieur, tel un héros qui a franchi toutes les épreuves.

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Formations :

Voir les descriptifs dans les pzges dédiées.

- Introduction à une hypnose quantique. ( 2 jours) Théorie, pratique, séance en direct comme en cabinet.
(Pour des personnes déjà formées en hypnose où en formation),

- Un niveau 2 Master class ( 2 jours) pour des personnes ayant déjà suivies le niveau 1 ou professionnels),

- Une formation ouverte à tous ( 2 jours) pour faire l’apprentissage du bien-être par l’hypnose quantique, Tao, Tantra…
- Une nouvelle formation Hypnose quantique / sagesse toltèque.


Chaque formation est un partage et un plaisir. Merci à ceux qui m'ont reçu Claude Virot (Emergences), Eric Bardot (Mimethys), Francine Helene Samak (Nice)... Thierry Servillat pour les publications et et évidemment Olivier Perrot, Tania Lafore à Annecy , Pascal Méreu en Normandie, Michel Schwab en Alsace...

Toute école qui veut élargir le cadre de l'hypnose ericksonienne peut me contacter.

Livres Thierry Zalic sur Amazon, extraits sur https://hypnose-quantique.jimdo.com/hypnose-quantique/

Image par Laura Stanziola